Ce que j’ai voulu exprimir, dans ce dessin, c’est la force de l’amour. Car, en fait, l’amour grandit sans forcer, tout simplement et partout, comme les pavots…
Quels que soient les déceptions endurées, quels que soient les endroits dans le monde, les religions et les genres, l’amour grandit malgré tout, et comme les pavots, il rend tout, beaucoup plus beau.
Le colibri apporte l’espoir de cet amour. Il répend les graines de la joie, de l’amour et de la beauté par où il passe…